Hier, je suis (enfin) allée à la plage avec Mavie et deux françaises, ma coloc et une fille de la fac. On a pris le train à Termini, la gare de Rome, direction Anzio. Il ne faisait pas très beau, mais la chaleur était étouffante, particulièrement dans le train qui prétendait pourtant avoir l'"aera condizionata". Après une heure passée à cuire sur les sièges en skaï, l'arrivée à Anzio est des plus agréables : l'air rafraîchissant de la mer vous fouette le visage, et c'est parti pour la plage ! A la sortie de la gare, on hésite à se payer le taxi tellement il est joli.
Bon, je reviendrais à Anzio quand j'aurais un peu plus de sous (pas demain, quoi), pour aller faire un tour de taxi. Pour le moment, je descend à pied, en admirant la vue sur la mer et les nombreux bâtiments colorés, entourés de palmiers ... Waouh.
Selon mes observations, il semble qu'en Italie il y ait énormément de plages "privées" : soit un espace où l'on peut passer à pieds, mais où l'on ne pose pas sa serviette. Avec barrières, et tout et tout pour défendre le parterre de transats de toute invasion de ploucs avec leur glacière. Qui s'allonge encore dans le sable, en 2011, franchement ? Alors que pour 20 euros par jour, tu bronzes sur la plage sans te salir dans le sable. Tsssss.
Pour les douches, c'est pareil, elles sont payantes. Comme on a quand même une heure de train à faire pour rentrer, on se décide à payer 50 centimes pour une douche froide. Et pour être froide, elle l'était ! Le truc te tombe d'un seul coup sur la tête sans prévenir avec à bloc de pression, et c'est complètement glacé. Revigorant.
Voilà tout pour aujourd'hui, la prochaine fois je vous parlerais de mes premières soirées romaines.
Merci pour ces nouvelles romaines. Et apparemment Rome ne manque pas d'arômes...
RépondreSupprimerSalut du soir de l'autre côté de la Mare Nostrum...
Arrivederci !
Philippe Vergès